Vers de farine déshydratés 200g

ADAPTÉ : Respecte le métabolisme et les besoins des oiseaux.
PROPRE et ÉCONOMIQUE : 100% consommé
ÉNERGÉTIQUE : Apporte des protéines et des lipides.

Les vers de farine, sont particulièrement appréciés par les oiseaux insectivores tels que les rougegorges, les mésanges, les pinsons des arbres et les fauvettes des jardins. Mais ils conviennent également à tous les oiseaux qui recherchent des protéines pendant les périodes où la nourriture se fait plus rare, notamment durant la saison de reproduction, de mars à juillet.
Les vers de farine peuvent être proposés seuls ou mélangés avec des graines.
Nos vers de farine sont entièrement naturels, élevés et préparés en France. Ils sont issus d'une démarche d'économie circulaire locale. En effet, les insectes sont nourris avec des produits provenant d'agriculteurs situés à proximité des élevages, ce qui permet à ces derniers de générer un revenu complémentaire.
Les vers de farine que nous proposons sont déshydratés, tout en préservant leurs principaux avantages nutritionnels :
• Riches en acides gras essentiels, Omégas 3, 6 et 9.
• Sources importantes de lipides, de protéines (57 %) et de fibres.
• Ce qui nous distingue : nos vers de farine sont naturellement enrichis en vitamine D3 grâce à une exposition spécifique à la lumière.
Ils sont disponibles en sachets refermables de 200g, 500g, et même en format de 1 kg.
Les insectes sont une composante essentielle de l'alimentation naturelle des oiseaux, ce qui signifie qu'ils n'altèrent pas leur métabolisme. Ils représentent une source d'énergie durable, parfaitement adaptée aux besoins nutritionnels des oiseaux sauvages.
La nature offre de moins en moins de ressources alimentaires aux oiseaux sauvages, il est donc nécessaire de compenser cette carence, mais avec des produits appropriés !
Saviez-vous que les vers de farine ne sont autres que les larves d'un coléoptère, le ténébrion meunier, un petit scarabée noir ?
* ""En 30 ans, les populations d’insectes ont probablement chuté de près de 80 % en Europe. C’est ce que suggère une étude internationale publiée mercredi 18 octobre par la revue PLoS One, analysant des données de captures d’insectes réalisées depuis 1989 en Allemagne dont le système agricole est similaire à la France.""