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- Mon enfant & moi
- Manger bio à tout âge
- Les alternatives au lait de maman
- Des jeux à vivre
- Des enjeux sanitaires
- Allaiter or not allaiter ?
- Dormir avec son bébé : pour ou contre ?
- Quand l’enfant paraît
- La génération du choix
- Élever son enfant autrement
- Manger
- Diversifier : quand et comment ?
- La viande : une nécessité ?
- Local et de saison
- Transmettre le plaisir de la table
- Être en pleine forme
- Ce qui se cache dans les jolis flacons
- Faire le tri
- Garanties du bio
- Des montagnes de couches
- Et hop, en machine !
- Pour une santé de fer
- La médecine traditionnelle : vaccination et antibiotique
- Et les vêtements ?
- Chambre riche en polluants
- Câliner
- Porter bébé : en route pour la liberté
- Ménager sa monture
- Trouver sa propre formule
- Jouer
- Quel jouet pour quel enfant ?
- Des enjeux sociaux et écologiques
- Les alternatives : les labels
- Les adultes de demain
- Des jouets à partager
- Requiem pour un jouet
- Apprendre
- Choisir l’éducation non violente
- L’école publique pour tous ?
- La nature est mon cahier
- Apprendre à vivre ensemble
- Les écoles alternatives : comment choisir ?
- Les « nonscos » et les « déscos »
- Le retour au système classique
- S’ouvrir au monde
- La fin de la fusion : se séparer
- Une deuxième maison : chez la nounou
- Crèches : initiation à la collectivité
- Se préparer à la société de consommation : la pub et les marques
- Quel rôle pour la télé ?
- Société de consommation : attention armes massives
- Aller plus loin : la simplicité volontaire ?
- Et après ?
- La crise d’adolescence : un passage obligé ?
- Des écueils à éviter
- Un deuil à faire
- Demain, un monde nouveau
Et les vêtements ?
L’impact écologique de la culture des fibres textiles est colossal. Les fibres synthétiques sont produites à base de pétrole. Quant au coton, ses cultures absorbent 25 % des insecticides agricoles consommés au monde et 7 000 l d’eau par kg de coton, alors qu’il ne représente que 2,5 % des surfaces cultivées. L’impact social de l’industrie textile est désormais connu…
Pour que bébé porte des vêtements doux avec la planète et avec ses habitants, on peut opter pour les fibres d’origine biologique ou le coton Max Havelaar (commerce équitable).
Cultivée en bio ou pas, une fibre une fois lavée ne présente plus de traces de pesticides. Ce n’est donc pas là que réside le véritable enjeu de santé publique pour nos enfants. Mais par la suite, une fibre est apprêtée, teintée, le tout avec des substances chimiques, souvent très nocives. Côté alternatives, on peut décider de privilégier les textiles non teintés.
Pour les jolies couleurs, on peut opter pour le label Oeko-Tex, qui contrôle la toxicité du produit fini. Des valeurs limites sont imposées sur les principaux produits toxiques.
Et bonne nouvelle, ce label est de plus en plus répandu, y compris sur les articles de literie.
Le seul label qui contrôle l’ennoblissement : Oeko-Tex
Conçue comme une garantie pour le consommateur, la certification Oeko-Tex mesure l’absence ou la faible concentration de substances indésirables sur le produit fini. Des seuils sont ainsi définis pour le formaldéhyde, les métaux lourds, les pesticides, les phénols chlorés, les phtalates, les retardateurs de flamme, les composés organiques volatiles…
Il existe 4 catégories de produits, chacune avec des valeurs limites différentes : la plus stricte concerne le textile pour bébé, viennent ensuite les textiles directement en contact avec la peau, puis les textiles sans contact avec la peau, et enfin le matériel de décoration.
Pour connaître les produits porteurs du logo et connaître les valeurs limites : www.oeko-tex.com