Connectez-vous à votre compte pour ajouter un favori à votre liste d'envies.
- État des lieux
- La Terre primitive et les bactéries
- Cellule eucaryote et biodiversité
- L’explosion du Cambrien et les 5 grandes extinctions
- La biodiversité aujourd’hui
- Évolution, écosystèmes et biodiversité
- Nourriture, santé et biodiversité
- Agriculture industrielle et environnement
- La domestication des plantes
- Histoire des techniques agricoles
- La révolution du xxe siècle
- Agricultures du Sud
- Nouvelles agricultures
- Viande et produits laitiers
- Poissons et crustacés
- Santé et biodiversité
- Habiter et jardiner
- L’architecture à biodiversité positive
- L’aménagement intérieur
- Jardiner biodiversité
- Accueillir la biodiversité
- Consommation, énergie et biodiversité
- L’énergie grise
- Consommer différemment
- Produits d’entretien et de toilette
- Habits et fourrures
- Voyages et biodiversité
- Tourisme de masse et biodiversité
- Voyager lentement
- Consommer local
- Écovoyageur : le plaisir de contempler
- Écovoyageur en action
- Ensemble pour la biodiversité
- Les toits végétaux
- Les murs végétaux
- Biodiversité dans ma ville
- Les associations et la biodiversité
Écovoyageur en action
• Des écovolontaires motivés
Pour dépasser la simple « immersion dans la nature » et s’impliquer davantage dans des actions de conservation de la biodiversité, il est possible de donner de son temps pour participer activement à la protection de la nature.
Cet écovolontariat permet à des personnes qui ne sont pas expertes de collaborer, aux côtés de scientifiques, à des travaux menés dans le but de préserver l’environnement. Ces écovolontaires acquièrent ainsi de nouvelles connaissances, au sein d’une équipe fédérée autour du même objectif : construire un futur plus durable.
De leur côté, les scientifiques bénéficient des moyens humains et financiers nécessaires à leur étude. L’écovolontariat permet finalement de mener des études à long terme et d’obtenir des informations à grande échelle sur l’environnement.
• Loups et bergers
L’association « À pas de loup » mène depuis quelques années dans les Alpes (Vercors, Mercantour, Monges, Maurienne) des actions ciblées pour prévenir les attaques de loups sur les troupeaux. Car si beaucoup d’éleveurs ovins ont déjà pris des mesures de prévention (chiens de garde, parcs de regroupement des troupeaux pour la nuit et/ou bergers et aide-bergers…), d’autres n’ont pas eu la possibilité matérielle de se protéger suffisamment de l’attaque de ces prédateurs. Les bénévoles de l’association assistent donc les bergers sur l’alpage en surveillant les troupeaux afin d’améliorer les roulements de garde. Ils participent aussi à toutes les tâches annexes, comme le montage des parcs, l’entretien et le débroussaillage.
L’objectif final étant de favoriser l’acceptation du loup en France, tout en entretenant le dialogue entre des citadins « écolos » et un monde agri-pastoral se sentant parfois bien oublié.
• Ja tun Sa cha en Équateur
La Fondation Jatun Sacha créée en 1989 a pour mission de promouvoir la conservation des écosystèmes forestiers et aquatiques ainsi que celle des hauts plateaux de l’Équateur.
En 1985, la fondation a créé une réserve de 2 800 hectares de forêt amazonienne nommée elle aussi Jatun Sacha (« grande forêt » en quechua, langue des communautés autochtones).
Des stagiaires écovolontaires (près d’un millier) participent à des programmes de recherche sur la nature au sein des dix réserves biologiques de la fondation dispersées sur l’ensemble du territoire de l’Équateur.
Orangs-outangs à Bornéo
À la suite d’une déforestation massive qui menaçait l’équilibre écologique de Bornéo, le « Sanctuaire de faune sauvage de la Kinabatangan » a été créé en 1996.
Il accueille un programme d’étude et de conservation de la population sauvage d’orangs-outangs : KOCP (Kinabatangan Oran-Utan Conservation Project).Les séjours éco-solidaires de Saïga permettent aux écovolontaires d’observer et de participer avec les assistants de recherche à la collecte d’informations sur l’orang-outang (littéralement « l’homme des bois »), pour comprendre comment il s’adapte aux bouleversements contemporains que connaît son milieu naturel.
Ce séjour permet aussi de découvrir au fil de l’eau les varans, les familles de nasiques, le jour, et les yeux phosphorescents des crocodiles, la nuit.
Il est aussi l’occasion d’une rencontre entre la population locale impliquée et les scientifiques engagés dans une
action de protection de la forêt tropicale.Pelagos et les cétacés de Méditerranée
En 1999, une zone protégée nommée « Pelagos » a été créée en Méditerranée pour protéger les cétacés. La zone s’étend sur 87 500 km2, depuis la Côte d’Azur jusqu’au golfe de Gènes, et du large de la Corse au nord de la Sardaigne. Depuis cette date, des activités d’écovolontariat sont menées par Cybelle planète, la SCS (Société suisse d’étude et de protection des cétacés), Saïga et avec l’aide de la Fondation Nature & découvertes, pour surveiller les populations de cétacés, réglementer leur observation, contrôler les activités de pêche et la pollution et améliorer l’information du public sur la protection de ces grands animaux.
Déjà adhérent ?
Pas encore adhérent ?
Ancien adhérent ?
Ré-adhérez dès maintenant et profitez de vos -20%*